Chez Finou

J’adore l’automne avec ses paysages monotones
Se promenant main dans les poches, esprit papillonne
Sentir la pureté de l’air, regarder le lever du soleil
La fraicheur sur le bout de mon nez, me maintient en éveil

Appréciant la douceur du ciel bleu
Imaginant me noyer dans tes yeux
Sentir la chaleur de ton corps
Me réchauffe une fois encore

Une fois rentrée à la maison
J’allume la cheminé avec passion
Frottant une allumette sur le papier
Confortablement installée avec café et pouf sous les pieds

Regardant naitre les flammes sur les morceaux de bûches
Virevolter, d’un bout à l’autre sans embuche
Attendre que les flammes dansent
Avant que le feu prenne, il faut de la patience

Après, s’être promenée sur cette buchette rigide
Onduler avec passion, elle rompt son égide
S’agitant et caressant son écorce
La folie étant là, le braisier démarre avec force

Quel spectacle magnifique que de voir
Dans la chaleur où s’installe doucement le soir
Rougir la bûche en proie des flammes se redresser
L’entendre chanter, siffler, puis retomber

 Ecoutant ce souffle s’amplifier
Sentir cette sensation m’envahir, s’intensifier

 
Fermant les yeux pour laisser courir mon imagination
Désirant ton corps avec réaction

J’ai pensé et rêvé à toi si fort
Que derrière moi je t’ai senti fondant dans le décor
Tu as posé tes mains sur mes seins
M’embrassant dans le cou et finir au creux de mes reins

T’agenouillant et sentir ton souffle près de moi
D’un revers de main poussant le pouf, je suis à toi
Me déshabillant au rythme crépitant du feu
Mon désir est grand il t’appelle, tu prends ça pour un jeu

J’ai envie de gouter à la chaleur de tes lèvres
Ton regard coquin m’excite et me donne la fièvre
Parcourant mon corps de tes doigts agités
Fondant sous la douceur de tes baisers

Soulevant mon bassin et t’offrant mon jardin sacré
Savourant le plaisir de ta langue sucrée
Gémissement et émotion entrelacés
Vint le moment de l’éclosion et de l’extase éreinter

Tendrement tu remontes et me donnes un baiser
En sursaut je dois me réveiller
 Te cherchant, je m’aperçois que j’ai rêvé
Moitié déshabillée, je me perds dans mes pensés

Me relevant pour mettre une bûche
Je perds l’équilibre et trébuche
 Triste de ne pas te voir à mes cotés
 Je ferme les yeux pour,
 
… Te retrouver…

 - Fin -

Delphine D.

© Tous droits réservés.

Ou l'on cherche à être parfait
Sur son chemin sans arrêt
L’extase sans se cacher

A mettre entre toutes les mains
Dédier et écris sur un parchemin
On a tous les même besoin
On est simplement humain

Ou plutôt sous tous les yeux
Accepter par les cieux
Pour ne pas être licencieux
Juste passer un moment heureux

Le plus dur dans l’exercice
C’est d’introduire le sujet
D'en rester la rédactrice
Pour finir par le publier

Dans une morale hypocrite
Faite de suggestions écrites
Chaque mot et phrase suscite
L’intérêt et l'envie d'un rite

Dans des va et viens discrets
Plus ou moins secret
D’esprits coquins de lectrices
Ou chacune devient actrices

Certains mots peuvent s’allonger
D'un discourt allégée,
Par des doigtés littéraires
Narrant des façons de faire

 En choisissant bien les mots
Excitants en placebos
L'amour en devient beau
Finissant par monter la haut

Se penchant avec altruisme
Dans certaines formes de l’érotisme
Ou la fable en devient de,

... L’égoïsme ...

-Fin-
Delphine D.
© Tous droits réservés.

L'ignorance, nourrit la colère
Couronne le mépris,
Donne à la tristesse, plus d'influence
Sublimant le ridicule....

Delphine Dupuy

Certaine personne peuvent te mettre dans le doute
Mais sache, garder la tête haute sans quitté ta route
Ne fait pas attention à ce qu'ils disent, coute que coute

Ils te jalousent parce qu'ils sont capout
Crois en toi, et prend en aux goutte à goutte
Surtout ne perds pas la raison sinon, se seras le blackout

Et pour eux la victoire de la ban-croute
Même si ta confiance est dissoute
Ne doute jamais de toi et fonce en passant, sous la voute

Laisse-les à leurs histoires de prout prout
Installe-toi dans ta moumoute
En ressentant les vibrations de ton cœur qui t'écoute
Ne perd pas la fois, la confiance, et l'amour de toi,

... Tel un vrai scout ...

- Fin -
Delphine D.
© Tous droits réservés.

 Elle est ma première solution
Expliquant se que je pense
Décrivant mon cœur avec sens
Faisant vivre chacune de mes illusions

Elle m'aide à affrontait la vie
En suspendant le temps
En le savourant à chaque instant
En me soulageant ainsi

Elle allège mon âme
En expriment ma tristesse
Faisant fuir ma détresse
Asséchant mes larmes

Elle décrit aussi mon Paradis
Intensifiant mon amour
En le répandant partout

Faisant parfois envie
 
Elle partage ma joie intense
Décrivant ma douceur
En offrant mon bonheur
Sortant mon cœur du silence
 
Elle me fait du bien
Dénonçant l'hypocrisie en restant sincère
Elle se transforme comme par magie en vers
Éloignant chacun de mes chagrins

Elle fait vivre mes pensées
Soulignant mon amour, ma famille et mes amis (es)
Enrobant les faits et gestes de la vie
Mettant en valeur la réalité

Elle m’exprime sans en faire trop
Appuyant la douleur et le bonheur
De mon état d'âme, sans peur
Elle guérie, tous mes maux,

... Signer par tous mes mots ...

- Fin -
Delphine D.
© Tous droits réservés.

Maladie difficile
Maladie incompréhensible
Nos mains ont mal
Notre teint devient anormal

Cette chose qui ronge nos articulations
En nous plongeant dans l'incompréhension
Chaque jour nos mains changent
Chaque nuit celas nous déranges

La souffrance devient notre quotidien
Lentement nous essayons avec nos moyens
De soulagés nos articulations
Et de donner joie à nos apparitions

Nous avalons matin, midi et soir des médicaments
Pour essayait d'oublier les courbature résistant
Je sais que je ne suis pas seule
Juste envie d un cout de gueule

Cette maladie nous ronge
Dans le désespoir elle nous plonge
Je ne veux pas malfaire
Même les médecins ne peuvent rien faire

Essayer de ralentir cette maladie
Est la seule chose qu'on nous a promis
Mais cette promesse n'est pas tenue
On devient de plus en plus tordue

La maladie peux nous isolés
En faisant souffrir nos mollets
Cette saloperie touche à tout
Sans répit en ayant mal partout...

La polyarthrite, la fibro, etc.... Nous ronge
En nous apportant que des mensonges
Nous fait souffrir, et prolifère
Dans notre corps, on à rien à faire

Les choses les plus simples deviennent difficiles
Faire le ménage devient impossible
La joie de vivre s'évapore
Apprécier notre bonheur devient un sport

Alors il faut ce battre
Avec amour et envie de combattre
Cette sale maladie qui nous détruits
Pour faire renaître notre paradis

Chacun et chacune à un être qui nous aime
Nous sommes plus d un millième
Mais pour il ou elle
Nous devons être fort (te)

... ou surnaturelle ...

- Fin -
Delphine D.
© Tous droits réservés.

 En chacun de nous, il y a des peurs
Que le passé garde avec délicatesse
Où souvent on y pense en pleurs
Et qui nous affaiblisse avec adresse

Les journées deviennent des heures
Où le mal tourmente notre existence
Tu as beau jouer en nous posant des leures
On attend la journée de délivrance

Malheureusement, on ne là pas choisie
Il faut l’accepter et affronter son adversité
Elle est en nous, gâchant notre vie
La force de la guérison s’inscrit dans la durabilité

Il faut profiter de l'amour dans son immensité
Pour nous aider, à trouver la potion
Garder de très près, la foi et l'amitié
Guidant notre âme vers un autre horizon

Nous, toi, moi, conjuguons nos efforts
Le mal s’apprivoise, doucement
Alors multiplions les mots doux et effaçons les torts
Pour que chacun de nous en reçoivent autrement

Atomiser le mal et fuir le malheur
En chacun de nous ils y à une maladie
Étape par étape nous construirons notre bonheur
Pour pouvoir enfin retrouver notre paradis

Ensemble, nous vaincrons notre peine
D'avoir autant de chagrin
Et mes amis, c'est par ce petit poème
Que, je viens peut être la vingtième

Mais avec amour et sincérité
Tendresse et amitié
Je viens vous souhaiter
Une bonne nuitée

- Fin -

Delphine D.

© Tous droits réservés.

 Le bonheur te garde gentil
En donnant ta sympathie
La joie te rend sincère
Et l'amitié non amère

Les épreuves te gardent fort
En forgeant ton corps
Te relever à chaque fois
te permet de garder la foi

Les chagrins te gardent humain
Quand l'hypocrisie vient de tes copains
Réconforter, aimer n'est pas un sentiment
Où l’on ne peut pas jouer avec à tout moment

Les échecs te gardent humble
Et te construise comme un immeuble
Quand il vrai l'amour
Ne te joue pas de tours

Alors quand on dit que l'on t'aime
Et que toi tu le crois, à fond
Méfie-toi et reste-toi même
L'amitié peut t'entrainer dans les bas-fonds

Reste sincère, et fait ta vie
Sans eux elle restera ton paradis
Aimer en faisant semblant
Et un amour plus que troublant

Joué avec le cœur
Peut donner peur
Mais ne pas te respecter
Peux devenir,

... suspect...

- Fin -
Delphine D.
© Tous droits réservés.

 Tu ma redonner gout à l'amour lorsque je t'ai vu
Des ton premier sourire je l'ai su
Que j'allais enfin renaître
Et faire vibrer tout mon être

Avec toi j'ai reconstruit mon amour
Dans laquelle je réalise jour après jour
Tous mes rêves qui rejoignent la réalité
Avec bonheur illuminé de sincérité

J'aime dans tes paroles me noyer
Sentir, tes mains remplis de douceur
Savoir que pour toujours tu me veux à tes cotés
Et redonner la raison aux battements de mon cœur

Lorsque nos lèvres se sont touchées
J'ai senti en moi croitre un fort sentiment
Adoration, amour, Passion, mélange enivré
Coulant dans mes veines abondement

J'aime me surprendre dans tes bras, à flâner
Parsemé de tes douces caresses
Pour un moment de joie enflammé
Recouvert de mille tendresses
 
Je ne Cherche pas à savoir se qui m'arrive
Je veux simplement en profiter sans esquive
Et m'abandonner entièrement et sans fin
À la douce chaleur de tes tendres mains

Enflamment le brasier de mon âme
Dans tous mon corps parcoure ses milliers de frissons
De tes mains et de tes yeux tu me désarme
Entre nous se développe bonheur et passion

Nous sommes unies pour la vie
Je prendrais soins de toi, sans déviation
Tu es mon unique paradis
Que je chérirai avec joie et émotion

Tu seras toujours mon plus joli poème
Remplis d'envie et de charme
Je tes cherché comme une bohème
Je suis fière de t'appeler ainsi,

... Mon amour, ma femme ...

- Fin -
Delphine D.
© Tous droits réservés.

Montant à bord
Pour le plus beau des voyages
Ta peau bouton d'or
Frisonne, en parlant le même langage

Les sentiments de nos cœurs 
Ressemble à un grand voilier
Pour notre plus grand bonheur
Notre amour vogues vers les alizés

Nous n’attendions plus rien de la vie
Toi triste et seule de ton cotée
Cherchant une nouvelle fois le paradis
Tous comme moi, triste et échouée

Le temps avait éteint nos sentiments
On n’attendait plus rien, pour notre bonheur
Puis nous nous sommes rencontrées, aimant
Faisant disparaître, la vague de l'âme preneur

Nous avons décidée de suspendre le temps
Parce que chaque seconde passez ensemble
Nous fait transformer l'hiver en printemps
Faisant fuir notre passer qui trembles

Pour laisser la place à notre amour
Traverser les déserts impitoyables
Pour s’offrir milles fleur tous autour
De notre bonheur infranchissable

Au large des îles sous le vent
Aucune chaîne n’empêchera, le pont 

Nous fuirons les lames de fond, les habitudes
Rien de nous n’empêchera de voler
Laissant le calme plat, et les orages rudes
Pour s'émerveillée devant les comètes de la voie lactés

Nous découvrirons les latitudes

De l'ivresse et de la passion
De l’extase à l'explosion
Sans jamais en perdre l'habitude 

Nos cœurs identiques aux braises

Bouillonneront passionnément
Sans que jamais personne ne nous lèse
Je serais toujours à toi tendrement

Derrière ses sourires

Derrière ses visages

Ils pensent tout conquérir

En faisant des ravages

Ma mémoire conserve
Cette image immortelle
Que je garde en réserve
Celle qui te rend si belle

Du jour de notre rencontre
Nos cœurs se sont appelés
Regardant chacune notre montre
Ils nous tarder de s'embrassées

Nos yeux se sont cherchés
Ton premier regard
M'a hypnotisé et ensorcelé
Telle une statue sans criée gare

Je ne pouvais plus me mouvoir
Mon cœur s'est révolté
Je ne penser plus qu'a te voir
Quand mon corps m'a abandonné

Rien ne m'appartient plus
Je suis une autre
Je ne suis plus
Juste un corps et rien d'autre

Dès lors, je suis sans passé
Je ne sais plus où je vie
Sans origine, sans identité
Je suis un nouveau née, qui cherche son paradis

Explique-moi, comment as-tu pu
Rien que par ton regard
M'immobiliser, sans retenu
Effacer ma vie faite que de hasard

Pour enfin me récrire, comme une poétesse
En vers sans fin
Que les cœurs apprennent, avec tendresse
Pour l'infini et par instinct

Je suis comblé
J'accepte mon destin
Tu es ma princesse au doigt de fée
Celle que je veux près de moi sur mon chemin

Aujourd'hui comme hier
Je cherche à inventer
Un nouvel alphabet, sans prière
Avec tous les mots, à enchaîner

Pour être à la hauteur, de décrire ta beauté
De décrire ton amour
De redessiner nos cœurs, attachés
Grain par grain, pour toujours

Goutte par goutte

Dans toutes les plages
Dans tous les océans, ou j’ajoute

Notre cœurs bat, avec rages

Notre amour triomphe, enfin
Je suis comblé
J'accepte mon destin
Merci mon amour de m'avoir

... Réveillé ...

- Fin -
Delphine D.

© Tous droits réservés.

Un moi d'avril
Un coup de fil
Un regard a suffi
Pour devenir mon paradis

Pour éveiller mes jours
Dans un écrin de velours
Pour éclairer mes nuits
Dans des draps de soie bleuie

Je crois en cet amour
De moi tu à fait un troubadour
Qui nous lie l'une l'autre
Quoiqu'en pensent les autres

C'est une évidence
Et une énorme chance
De vivre un tel bonheur
Par l'union de nos cœurs

Nos corps remplis D'émoi
Nous guidant toi et moi
Vers le plaisir abondant
Où, on s'abandonne à tous moment 

J’aime et revendique nos caresses
À l'infinie pleine de tendresse
Que réclament nos chairs
Pour des instants hors paire 

Notre amour et une passion
Qui au gré des saisons
Demeure immuable
Nous rendant, intouchables

En toi, j'aime cette force
Des que j'ai un doute
Je puisse dans tes yeux
Pour me sentir mieux

Je sais que le temps passe
Mais, il sera toujours inefficace
N'altérant que nos corps
Car nos sentiments resterons les plus forts

Nous sommes plus que de simples amants
Qui défieront sans arrêt le temps
On restera toujours, soudées
L'une contre l'autre aimante, encore plus,

... pour pouvoir nous évadées...

- Fin -

Delphine D.

© Tous droits réservés.

Lorsque l'on se marie

On ne sait pas vraiment

De quoi sera remplie

La vie qui vous attend

Le temps se garnit

De larmes et de rires

Les âmes se lient

En affrontant le bon et le pire

Le chemin a pu parfois être ronces

Mais aussi garnit de fleurs

Ce qui donna toutes vos réponses

Et enleva vos peurs

C'est au fil du temps que fusionnent vos cœurs

Après quelques années

En faisant le bilan, remplie de bonheur

Vous êtes heureux, et aimés

Ne gardez du passé

Que les plus beaux moments

Tracez continuellement vos projets

Ensemble à chaque instant

Regardez les bonheurs

Et oubliez les pleurs

Continuez le chemin

Sans vous lâcher la main

En sachant que le fruit de votre amour

D'être tous les deux réunis pour toujours

A provoqué la naissance d'un Ange

Et donner votre amour avec louange

Élevant vos enfants respectifs

Qui aujourd'hui rentrent dans la vie active

Vous avez construit votre foyer

Et tissé votre amour, sans parité

Traverser des douleurs, chagrin et tristesse

Pour remplir vos mains de bonheur, d’allégresse et de caresse

Le chemin à été long et dure

Mais aujourd'hui votre l' amour et pure

Nous vous souhaitons un excellent anniversaire de mariage

En espérant pas compter les âges

De vous voir heureux pour longtemps

En fleurissant tous simplement

... le temps ...

Nous vous aimons très fort

Diane et Delphine

Poéme avec ma tendre  amie Karin Krier Artiste Peindre 
Nous nous connaissons pas,

le but de notre duo et de s'imaginer comme on se voit

mon amie par la peinture sur moi et mon texte sur elle cela donne...

Comme un arc en ciel tu recouvres ta toile
De beauté, d'envie, comme une étoile
Ton imagination s'intille et se pose en couleur

Avec réalité, sans jugement ou peur

Ta soif artistique se dévoile

De poémes où de peintures sans voile
Un vrai moment de bonheur
Qui emeut chacun de nos coeurs

La peinture remplace le croquis
Voyant ton doux regard je souri

Tu y transmet tant d'emotion
Que tes pinceaux et tes doigts sont en union

Absorbé par ta création
Tu y nage comme un poisson
Abriter dans tes pensées intimes
Tu sors ta sensibilitée des abîmes

Sereine dans ta méditation
Tu abreuves chacune de nos relations
Ton pinceau glisse, ta main s'anime
Avec tendresse, et bonne mine

Ton œuvre s’achemine
Comme ta vie, et tes valeurs sans mime
Ton invention prend forme
Et ton talent n est pas difforme

Les contours se dessinent
Ton amour prend racine
Et d’aspect fantasque il se transforme
En explosion hors-norme

Enrobé de bois ou de feuille d'or
Ta timiditée, et ta beauté sont un vrai trésor
Tu n'as peur de rien ou parfois légére crainte
Mais en confiance on reconnait bien ton empreinte

Les nuances éclatent en bouquets
D'amour et d'amité, à l'odeur du muguet
S'alignent, se croisent et se mélangent en scénario
Pour réaliser toujours de trés beau duos

Pour célébrer tant de beauté
Je suis fière de notre amitié
En voyant se magnifique, et véritable tableau
Je ne peux que me permettre, de te tirer,

... Mon chapeau ...

-Fin-

Delphine D.

© Tous droits réservés.

Je suis née au matin, d'une fraîcheur éclose

Au parfum de lys où de rose
Comme une perle d'eau sur la tige d'une fleur
Je me suis étirée sans peur

Dans mon jardin secret je me suis épanouie
Comme la beauté, d'une symphonie
Avec des formes gracieuses
D'une fleur rare et précieuse

J'ai grandi nourrie par l’espoir de te trouvé
Arroser de mille passions, je me suis réveillée
Et trouvé ton âme à mes coter
Recroqueviller, la tête penchée

Tremblant d'un air mélancolique
Sombre crépuscule ombilic
J'ai senti nos liens nobles et magnifiques
Se rapprocher comme dans les histoires féeriques

Je suis resté totalement éblouie

Par ta beauté infinie

À nous les joies de la vie
Avec nos pas fleurissante et indécis
Découvrons notre envie volcanique
Avec les plus belles notes chantant,

...De l'Amour Symphonique ...

- Fin -

Delphine D.

Poème que j'ai écrit à la demande de ma mère
Pour l'anniversaire du décès de mon frère
Qui nous à quitter très vite, et très tôt

A mon frère, qui me manque terriblement, ou la douleur reste en moi, comme une cicatrice qui se refermeras jamais,
Une douleur intense d'un manque, irremplaçable, qui est celui d'un être cher...
Je t'aimerais toujours mon grand frère, tu me manque si fort 

A mon fils...

La vie est souvent parsemée d'embûches et d'impasses
Comme ton image qui passe et repasse
Mais le temps file et passe
Et je dois malgré tout y faire face

Nous étions si proche, toi et moi
Je n’appréciais pas toujours tes choix
Mais je t'aimais mille fois
Chaque jour et plus fort à chaque fois
 
L'espace d'une seconde
A suffit pour que tu partes, et m’inonde
Tu es si loin, que mon cœur gronde
Tu manques à ma vie, et mon âme vagabonde

Je me réveille souvent la nuit
Croyant entendre un de tes cris
Me rappelant souvent quelques une de tes moqueries
Joviales qui restent dans ma tête inscrit

J’imagine toujours que tu vas arriver, pour le repas
Mais muet le silence reste là
Et toi tu n’es pas là
Et je sais que tu ne reviendras pas

Mon cœur c'est brisé
Mes larmes coulent sans arrêt
Comment expliquer ce que je ressens
Ne plus entendre ta voix, et sentir ta présence

J'aimerais tant te voir revenir
Toi qui ne voulais même pas partir
Tout le monde est là pour me soutenir
Mai c'est dur et je dois continuer à tenir

L'avion est finalement partie
Pour t'emmener dans ton autre vie
Mais une étoile dans le ciel continuera de briller
Toujours plus intensément, pour ne pas t'oublier

Je sais que tu pense à moi au cours de ton long voyage
Dans l'au-delà, derrière les nuages
Et que tu es parti rejoindre les anges au paradis
Mais saches que ton nom restera toujours gravé dans mon cœur,
Pour toute la vie, je t'aime 

... Mon fils...

Delphine Dupuy...

Bien sur l'idée de détester son père peut paraître sinistre, et plus souvent triste; je le comprends, j'envie tellement les gens qui ont eu un père aimant, et attentif, malheureusement ça n'a pas étais mon cas échéant...

J'ai toujours sentie très tôt, chez cette homme, que je lui avais empoisonné la vie tels un gnome, lui qui se disait mon père, et pour moi étais mon simple géniteur en amateur.

Juste égoïste à point pensant qu'a lui et sa petite liste, vivant que pour lui, partager entre violence et alcool, me laissant sans parole, offrant mon petit corps a son meilleur amie, comme un trésor.

Mes souvenir ne sont que douleur, quand je parle de son cœur, le voyant frapper ma mère sans manquer d'aire, recevant des coups an guise de bonjour, maltraitant mon frère, ou il en étais fier, et ma sœur tous sa sans rancœur.

Aujourd'hui parti, enfin sortie de ma vie, je ne peux toujours lui pardonner, j'ai du mal à me raisonner, mais quand je pense à lui mon poème en née...

Mon alphabet...

A= Amour... Que tu ne m’as jamais donné

B= Bonheur... Que tu ne m’as jamais offert

C= Colère...Que tu me procure en pensant à toi

D= Douleurs...Que tu m’as infligé

E= Égoïsme...Que tu as toujours porté à mon égard

F= Froideur...Quand tu oser t'approcher de moi

G= Gaité...Que je n'ai jamais connu avec toi

h= Haine...Tous ce que je ressens pour toi

I= Ignoble...Quand tu m'envoyer ou je ne voulais pas...

J= Juste...J'aurais tant aimé que tu le sois

K= Kaki... couleur de ton seule neurone à moitié pourrie

L= Lamentable...Quand tu jouer la comédie

M= Maltraitance...Seule chose que tu savais faire avec aisance

N= Nuire...A mon existence

O= Oppresser... de savoir que tu rentrer

P= Peur... Seul sentiment que tu as su m'apprendre

Q= Quinquagénaire...Tu oses me demander de te pardonner

R= Regret...Le jour où tu m’as reconnu

S= Santer...A cause de toi en partie détruite

T=Trahison...Ta seule façon de m'aimer

U= Union...Tu n'as jamais compris sa définition

V= Valeur...Je la cherche toujours en toi

W= Wagon...Enfin te voilà partie

X= Xylophène...Musique que tu savais faire quand gueulant

Y= Yeux...Qui ne t’a jamais servie à me voir

Z= Zoo...La ou on aurait dû t'enfermer

Voilà ce que je ressens en parlant de toi

Tu m’as voulu, mais pas assumer

Tu n'as jamais su m'aimer, toujours détester

Et le pire à étais quand tu nous a renié

Ce n’est pas difficile à dire

Pour moi tu n'exister pas

J'ai toujours envie de te haïr

Alors que tu es parti

Je veux juste croire encore à un peu d'espoir

Et m'imagine, qu'une seul seconde, un jour

Tu as pu m'aimer,

... PAPA ...

Delphine D.

Elle évolue en fonction de mes drames

Mes drames qui mon laisser souvent quidam

Ou j'ai souvent reçu des blâmes

L'écriture est pour moi

Un moyen de me libéré sans voix

Présente comme un échappatoire

Contre ma vie si aléatoire

J'aime à croire qu’elle est le fait de mes désires

L’illustration parfaite de mes moindres soupirs

L’éternelle compagne de ma vie

Qui me suit à la trace sans répit

Car la folie me guette

Écrire est la raison qui la rejette

Graver mes mots sur du papier

M'encre dans la réalité

L’écriture est magnifique par ses sens multiple

Sent est mon meilleur disciple

L'écriture est ma folie raisonnable

Que j'aime ranger dans mon cartable

L'écriture est la sculpture de mon cœur

Les gravures de mes blessures et rancœurs

Que je couche sur papier sans peur

Méticuleusement tel un orpailleur

Mais elle est aussi mon garde-fou

Le miroir de qui je suis pour vous

Elle m'exprime sans tabou

Et ne me traine pas dans la boue

Si vous vibrez au son de mes écrits

Alors vous êtes au nombre de mes amis

L’écriture est le seul médicament qui ne me détruit

Ma seul solution et ma meilleure thérapie

L’écriture est chargée de trésor

Que l'on dépose sans tord

Sur des lignes border d'or

Sans préjuger et abord

L’écriture me fait évacuer ma souffrance

Me délivre avec aisance

Ou mon âme et mes mots sont en alliance

En elle j'ai trouvé

... Ma délivrance ...

Delphine D.

Mon histoire je ne sais pas trop comment la raconter
Ni même la compter
Je ne sais que m'exprimer sous forme de prose
Quelque  fois à l'eau de rose
Mélanger avec joie et bonheur
tristesse et douleur
L'écriture me permet d'évacuer mes maux
De me libérer comme une thérapie
Ma plume parcoure toutes ses lignes
Partageant mes nuits d'insomnie
Mon enfance n'est pas envieuse
Elle a étais surtout pluvieuse
Une adolescence dur
En manque d'amour pur
Une entrée dans le monde du travaille
Pour moi sans grande trouvaille

..... Pour toujours ...
 
Delphine Dupuy

J'ai tellement hâte de respirer l'odeur
De ta douce peau avec ardeur
De t'embrasser, tout en couleur

Et te faire l'amour en chaleur

De voir ton si beau sourire radieux
Sur ton doux visage heureux
T’apposer des caresses, majestueux
Sur ton corps amoureux

Ton image si douce me réjouit
Ton tendre visage m'éblouit
Ta voix suave m'enivre et m’envahis
D'un doux désir, et de gazouillis

Tu rempliras à jamais mon cœur, de tendresse
D'amour, de joie, et bonheur tout en délicatesse
Tu as fait évacuer en moi toute ma tristesse
Pour la remplacer par des milliers de caresses

Mes désirs partent sans peur

De vivre à deux quel que soit l'heure
L’endroit, la place j'arriverais tel un skipper
Spi en poupe, cheveux au vent te rejoindre, sans stupeur

Un seul baiser de toi, et un plaisir
Il me suffit à me sentir
Comme une reine, qui ne veux plus fuir
Et qui ne cesseras jamais de te séduire
 

Chaque fois que tu me regardes

Tu fais fondre mon cœur, de cocarde
Devant tes si beaux yeux, je baisse ma garde
Tu ma envoûter, moi petite franchouillarde

Ces instants que nous partageons sont en or
Ils sont et resteront pour nous, un vrai trésor
Certes senior, mais tu vos largement un sextuor
Qui a mes yeux vaut toute la richesse d'un pandore

J'aime dormir près de toi enchevêtrée
Enlacée dans mes bras, sous une belle nuit étoilé
Désir extase et caresse par milliers
Tu m'émerveille, par tant de beauté

Dans quelques jours
Enfin je me réveillerai prés de toi mon amour
Je déposerai un baisé tendre sur tes lèvres de velours
Où je te réchaufferais dans ton sommeille divin,

  ... Pour toujours, mon grand AMOUR ...

- Fin -

Delphine D.

© Tous droits réservés.

En duo avec ma grande amie Karin Krier, peintre...

 

Abreuve-moi de ton sourire
Où je deviens brûlante de désir
Soulève ton chapeau d'élixir
De cette couleur rouge de plaisir

Aimer de tout mon être
Balbutier de tendres mots d'amour, sans omettre
Crier ta satisfaction, jusqu'à l'extinction de ta voix

Donner l'envie de recommencer à chaque fois

Envahie par tes doux parfums de cœur
Fermer les yeux pour mieux ressentir le bonheur
Garder jusqu'à la dernière minute le cri d'extase
Hurler encore, et encore, ne pas s'arrêter en rase

Inventer des jeux secrets et tendres
Jouer à deux des heures entières sans méandre
Khat de ses feuilles nous enivrés
Le long de ton corps faire courir mes baisers

Murmurer à ton oreille, tu es ma femme bien aimé
N'entendant que ton chant mélodieux et réanimé
Oserais-je te demander
Prends-moi dans tes bras, pour ne plus bouger

Que j'épouse ton corps brûlant de désirs
Redis-moi ces mots d'amour et de plaisir
Souris-moi quand tu atteins l'orgasme
Telles les cordes d'un violon jouer la musique de ton fantasme

Un rictus en disant long sur ton plaisir
Viens au plus profond de mon corps en élixir
Waouuuuu ! Cette envie tellement succulente
Xérès étanche notre soif si ardente

Y a-t-il quelque chose de plus beau
Zinzin, folle, dérangée, du haut
...

Amoureuse de toi, oui je le suis

Et sa dit toi que, c'est sans ennuie
Mon amour vogue, jour comme nuit

Et mon cœur se remplie, ou mon visage, mon ange

  ... Te souris...

-Fin-

Delphine D.

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