M'assoyant sur ce rocher,
Seul je mis suis poser,
Regardant le ciel bleu couleur de mes yeux,
Bleus gris, cachant un sourire heureux.
J'ai sentis le vent soufflés les feuilles de ma vie,
En douceur pour les menées vers l'oubli,
Regardant l'eau de l'océan de mes espoirs,
Se réanimant à mes rêveries d'un soir.
Observant la plage, où j'en perds le temps,
Me fascinant bien plus souvent,
Pour moi de les voir volet,
Et un vrai signe de liberté.
Tous ces oiseaux, que j'entendais crier et plonger,
Pour ce nourrir en toute honnêteté,
Mon regard posé au loin, ainsi surgis une petite bulle,
Représentant mon regard de somnambule.
Seul au milieu de cet océan, remontant à la surface,
Enfin j'y es trouvé ma place,
Observant et enfermant une partie de moi même,
Qui se dessine dans tant de mes poèmes.
Mes larmes se mêlent à mon océan,
Où je m'y perds dans ces mouvements,
Voilà que ma bulle se met à volet,
Enfin je ressens la liberté.
Gardant toujours avec elle mon temps,
Soulevant mes souvenirs cachés d'un geste ardent,
Où le bonheur dessinait ses couleurs,
Où le noir ne connaissez pas la peur.
Je reste là à la regarder cette petite bulle s'envoler,
Porter, certain, les rêves de mon cœur apeurés,
Postée sur la plage de mes sentiments,
J'observe l'océan tendre et impatient.
Où toutes les croyances ont des droits,
J'entends au loin, la mélodie de ma foi,
Soufflant, je regarde ma petite bulle continuait son voyage,
Sans prêter attention à la voix des sages.
Je me perds et m'enferme dans cette petite bulle,
Sans avoir ni préjuger ni préambule,
Mon cœur tape au rythme de la houle,
Où je me recroqueville et me met en boule
M'offrant pas plus beau tableau,
Que celui qui s'écrit de tous ces mots
Rien ne fait plus de silence,
Qui panse chacune de mes souffrances.
Je n'ai pas eu plus doux sentiment,
Que le soulagement important,
Que j’ai eu à la vue de cette bulle,
... A cet instant...
- Fin -