Dans l'obscurité, ton corps de femme
A la seule lueur d'une flamme
Se dévoilent timidement
Doucement, j'en apprécie le temps
Ta peau si peu vêtue
Me donne des envies défendues
J’ai le désir intense de voir ton corps nu
Pour déposer des baisers dessus
Un bel instant de tendresse
Où se mêlent silence et caresses
Apprenant chaque geste de désirs
Sentant nos deux corps frémir
Tes seins sont doux comme de la soie
Si agréable que j’y glisse mes doigts
Je vois que tu apprécie
Alors je les embrasses à l’infini
Lorsque, soudainement, mes gestes s'affolent
Dans ce monde toujours sans paroles
Nos lèvres se rapprochent doucement
Se touchent et se séparent furtivement
Enfin, un long baiser brûlant
Et l'atmosphère se fait volcan
Nos corps brûlants s'enflamment
De mes bras, J'enlace ton corps de femme
Ton sexe à peine caché par ta toison brune
Attire ma bouche qui immédiatement se soude à cette lune
Je l’entends, il m’appelle se si beau fruit défendu
Que j'y accoure et le prend comme un du
Ma langue, et ton jardin s'entrelacent,
Ne laissant plus aucune place
A la moindre petite bulle d'air
Te laissant sans repères
A la cambrure de tes reins
Je sens que sa te fait du bien
Poussant quelque gémissement
Tu me demande timidement
Chevauchant mon corps
Se mélangeant en accord
Nos âmes s'envolent au paradis
Tandis que nos enveloppes restent dans la nuit
Puis, le moment magique et sans fin
Où les êtres ne forment plus qu'un
Les secondes se perdent dans le temps
Les corps s'enlacent profondément
Jusqu'à la phase finale
Sa devient l'extase totale
Puis de petits soupirs,
De corps détendu à n'en plus finir
Par la suite tu as fini par t’endormir nue
A mes cotés repue de désir absolu
J’ai continué à caresser ta peau
Car il n’y a rien de plus beau
Que de te regarder dormir
Ton visage serein de plaisir
Ton si beau corps de femme
Ou rompus s’éteint doucement
La chaleur de cette flamme ...
- Fin -
Delphine D.