Je me rappelle, de la douceur de tes mains Quand tu me tenais au chaud tous les matins De la tendresse de tes câlins, et de tes bisous Que tu me faisait largement partout
Qu'il est cruel de ne pas connaître ses parents De savoir qu'on ne fait pas qu'un comme un aimant De se poser tant de questions Sans jamais trouvé la solution
Jeune, coquine, timide Cloitrée derrière ma fenêtre